
Même si les acteurs de la santé déplorent l’absence de moyens supplémentaires dévolus à la lutte contre le jeu excessif, ils estiment que les effets du référendum pourraient être dévastateurs, a expliqué Jean-Félix Savary, secrétaire général du Groupement romand d’études des addictions (GREA), membre de la coalition nationale pour la protection des joueurs, dans La Matinale de lundi: “Le système proposé par les référendaires est un système totalement ouvert de libre-marché, de libre-concurrence avec un déferlement des jeux en ligne sur la Suisse. Cela signifie une plus grande difficulté pour pouvoir réguler cette offre.”